d-art-agnan

Quatrième de couverture : Dorian Gray jeune dandy séducteur et mondain, a fait ce voeu insensé : garder toujours l'éclat de sa beauté, tandis que le visage peint sur la toile assumerait le fardeau de ses passions et de ses péchés. Et de fait, seul vieillit le portrait où se peint l'âme noire de Dorian qui, bien plus tard, dira au peintre : "Chacun de nous porte en soi le ciel et l'enfer"



Dorian Gray est un livre que j'ai découvert en voyant l'affiche du film qui porte le même nom (article à suivre prochaine sur le film). Ce qui m'a encore donné plus envie de le lire encore a était d'apprendre que le livre, à l'époque d'Oscar Wilde a été fortement controversé, critiqué et pas du tout accepté.
Le livre est en tout cas très intéressant à lire bien qu'il commence a y avoir beaucoup de suspens bien après le milieu du livre.
Celui-ci nous amène dans un Londres noir et lugubre, bercé par les fumées d'Opium. L'auteur à vraiment réussit à faire plonger ses lecteurs dans son roman et l'on arrive ainsi, sans trop de détails explicite, à suivre peu à peu, Dorian dans sa déchéance.

Ayant précédemment mis une phrase ici où je me suis apparemment (et lamentablement) plantée d'auteurs, je retire donc, mais par simple soucis moral, je vais quand même allé relire pour retrouver avec quel autre phrase j'ai bien plus confondre : merci à vous qui m'ont corrigés :)

Un livre très prenant mais parfois un peu long.

Quatrième de couverture : La vallée des dragons argentés menace d'être envahie par les hommes. Seul Long, un jeune dragon, accepte de partir à la recherche de "la lisère du ciel", un lieu légendaire sûr pour ceux de son espèce, où nul ne viendrait les déranger. Parti accompagné d'une kobolde prénommée Fleur-de-Soufre, il est bientôt rejoint dans sa quête par Ben, un jeune garçon solitaire. Les trois amis vont affronter ensemble bien des dangers, le plus sérieux d'entre eux étant Ortimore le Doré, le terrible chasseur de dragons, qui rêve de découvrir le lieu dans lequel sa proie préférée a trouvé refuge...

Alors voila un livre jeunesse tout mignon et très rapide à lire qui, étant donné qu'il traite des dragons (qui plus est, à notre époque), m'a duré plusieurs jours parce que je me suis forcée quand même. Cornelia Funke ( Coeur d'encre, Sang d'encre et Mort d'encre), nous offre une histoire douce et bien mené qui nous change d'un quotidien parfois trop encombrant. On se retrouve vite plongé dans l'univers de nos trois héros et leurs rebondissements qui donne à leur histoire un goût d'aventure auquel ... j'ai pourtant trouvé qu'il manquais quelque chose.

Je sais que ça reste une histoire pour les plus jeunes, qu'il faut leur donner envie de lire sans pour autant les assommer de multiples informations, mais j'ai trouvé, parfois, qu'ils passaient d'un plan à un autre un peu trop rapidement, qu'il aurait fallut quelques mots ou phrases de plus pour nous plonger encore un peu plus profondément, sentir un peu mieux le vent dans les cheveux quand on chevauche Long en même temps que Ben.

Ce livre m'a malgré tout enchanté et pour ceux qui sont amateurs d'histoires qui les font voyager et qui sont rapide à lire, je leur recommande. Il les emmènera loin dans un écrin de satisfaction.
A lire et à relire :)

Quatrième de couverture : Le Maine, 1970. Ben Mears revient à Salem, s'installer à Marsten House, inhabitée depuis la mort tragique de ses propriétaires, vingt-ans auparavant. Mais très vite, il devra se rendre à l'évidence : il se passe des choses étranges dans cette petite bourgade. Un chien est immolé, un enfant disparaît et l'horreur s'infiltre, s'étend, se répand, aussi inéluctable que la nuit qui descend sur Salem




Je pense bien qu'il est mon préféré de Stephen King, peut être aussi parce que c'est le premier que j'ai lu mais surtout, le premier de lui que je voulais lire (merci au Dragon de Poche quand même). C'est un livre envoûtant, captivant, horrifiant et frissonnant. Je regrette vraiment pas de l'avoir lu et je le recommande à tout les amateurs de lecture et de frissons (et qui savent pas se dépétrer d'un livre quand ils sont dedans, parce que ce bouquin, tu le lis quasi d'une traite ou te le lis pas  x) )
Stephen King dans son art de faire passer des émotions avec des détails détaillé assez nombreux pour même réussir à s'imaginer l'haleine des vampire ou l'odeur du feu. (ou alors c'est moi qui ai une imagination trop prolifique pour ce genre de bouquin Oo)

Quatrième de couverture : Greg Stillson, candidat à la Maison Blanche, est un fou criminel, grand admirateur d'Hitler et d'autres maniaques de l'extermination. Quand il sera élu, ce sera l'Apocalypse.
Un seul homme le sait : John Smith, car il est doué d'un étrange pouvoir qui lui attire pas mal d'ennuis, il devine l'avenir. Il n'y a rien de réjouissant à cela. Il peut prévoir les accidents, les catastrophes, les hécatombes. On ne le croit pas, ou alors on le croit trop.
John Smith n'a encore rien dit de ses prémonitions. Pourtant, le candidat à la présidence des États-Unis est un dément. Que fera John Smith pour son pays?



Ce livre ne m'a pas spécialement marqué même si l'on y retrouve tout l'art de Stephen King, mais l'histoire ne m'a pas du tout accroché! Beaucoup de temps à se mettre en route. Il est intéressant tout de même, une histoire qui change (parce que pour une fois, le héros se retrouve pas perdu au milieu de rien ^^) mais en S.K., j'ai lu mieux (après, il en faut pour tout les goûts bien sûr!). La fin m'a surprise par contre! je m'attendais pas à ça et pourtant, j'ai eue plein de scénario qui me sont passé en tête!!